Salarié(s) radicalisé(s) : détecter et agir

Quels signes permettent de suspecter la radicalisation d’un collaborateur ? Quelles mesures prendre pour protéger, s’il y a lieu, la collectivité et l’entreprise ?

Les Cahiers du DRH, mars 2024, n°314 – Article rédigé par Ludovic Genty et Hadrien Durif

Complexes à identifier, les phénomènes de radicalisation doivent faire l’objet d’un traitement spécifique au regard des risques qu’ils font courir aux biens et aux personnes.

Ces derniers renvoient à un processus psychologique conduisant une ou des personne(s) à adopter une vision extrême au sujet d’une idéologie politique ou de préceptes religieux.

Ils peuvent conduire à la réalisation d’actions violentes, telles que des sabotages ou des attentats terroristes.

Au regard de l’actualité, qui met en avant aussi bien les actions des écologistes radicaux que les attaques terroristes islamistes, les DRH sont à la recherche de solutions opérationnelles pour réagir face à un collaborateur « déviant », sujet d’autant plus ardu à appréhender que la radicalisation ne se traduit pas nécessairement par des actes répréhensibles commis au sein même de l’entreprise.

Confronté à une telle situation, la direction pourra, selon les cas, utiliser son pouvoir disciplinaire ou, à défaut, signaler le salarié aux autorités compétentes.

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